28/02/2010
A strange experience
Sometimes the right thing to do is to take that irreversible step, the one after which you cannot go back…
Dear God, give me that strength to never regret what once made me smile even if it’s hurting me now.
It stills a wonderful memory that I will never relive, a smile that it will never come back…
Dear God, let your light shines in the deepest corner of my heart where darkness is killing me day after day,
just to feel how lucky I am to have such wonderful friends having everyone his special effect on me…
his effect that’s changing every little wrong thing in me…
A friend shows me what is FEELING, and how strong this word could be. How it could be shown without any word,
just by silence’s mystery, by a simple hug, a simple deep eye contact!!
She shows me that walls are built to be broken not by myself, but by the ones who really cares with everything in him…
the one who will do anything just to be near, to be close…
This one shows me what it means to let someone in, to see the side of me that no one does or ever will without any
effort from me, just because she cares…
She healed my pain…Answers all the questions in my mind without any answer…Feels every second in my life being
so far away by distance…Knows me more than myself could ever know and still loves me without any regret, any fear…
How can I realize that this angel could be a friend…How could a word describes a part of you?!…A part that will never
walk away without leaving a huge emptiness in the deep of your spirit?!
This one, can I name it friend…But I can feel it as a power…As a strong anonymous feeling…As a deep trust that will
never be broken…
I just can’t describe what’s living inside me and growing up each day… It’s such a deep ocean of sleeping words becoming
insignificant when they’ll wake up… It’s just a storm reaching peace with a simple long concentrated look… A hiding tears
with every goodbye, a biggest fear with every hug…
by chrystel nouar
24/02/2010
Le test de l'amour
Le test de l'amour !
Questions:
1. Vous êtes en train de vous rendre chez votre amoureux(se). Il y a deux routes possible. L'une est directe mais semée d'embûches et assez pénible à prendre, toutefois elle vous y amène plus rapidement. L'autre est plus longue mais agréable et pleine de vues imprenables.
Laquelle choisissez vous : courte ou longue ?
2. Sur le chemin, vous voyez deux buissons de roses. L'un est rempli de roses blanches, l'autre de roses rouges. Vous décidez de faire un bouquet de 20 roses.
Quelle arrangement choisissez-vous ? (celui que vous désirez, une ou deux couleurs)
3. Vous arrivez finalement à la maison de l'être cher. Vous sonnez à la porte et la bonne vous ouvre. Vous avez le choix entre demander à la bonne d'aller chercher l'être cher ou d'y aller directement.
Que faites-vous? demander à la bonne d'aller le (la) chercher ou vous y allez directement ?
4. Vous êtes arrivé(e) à la chambre de votre amoureux(se). Il n'y a personne. Vous pouvez laisser le bouquet sur le lit ou sur le bord de la fenêtre.
Où déposez-vous les roses ? sur le lit ou sur le bord de la fenêtre ?
5. Plus tard, il est temps de vous coucher. Votre amoureux(se) et vous allez vous coucher, dans des chambres séparées. Vous vous réveillez le matin et allez à la chambre de l'être cher. Vous entrez dans la chambre.
Est-il (elle) endormi(e) ou réveillé(e) ?
6. Il est temps de rentrer à la maison et vous vous préparez. Vous avec encore le choix entre les deux chemins.
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Réponses:
1. Les routes représentent votre attitude face au fait d'entrer en relation amoureuse. Si vous choisissez la courte, c'est que vous tombez en amour facilement. Si vous choisissez la longue, c'est que vous prenez votre temps et ne tombez pas en amour facilement, vous montez en amour.
2. Le nombre de roses rouges représente combien vous vous attendez à DONNER dans une relation. Le nombre de roses blanches représente combien vous vous attendez à RECEVOIR dans une relation. Donc, si vous avez fait un bouquet moitié roses blanches, moitié roses rouges, c'est que vous désirez une relation équilibrée. Si vous avez fait un bouquet 80% rouge et 20% blanc, c'est que vous vous attendez à donner 80% et recevoir 20%.
3. Cette question montre votre attitude face aux problèmes de la relation. Si vous demandez à la bonne d'aller chercher votre amoureux(se), c'est que vous allez plutôt tourner autour du pot et même faire intervenir une tierce personne dans vos problèmes pour vous aider à les régler. Si vous êtes allé(e) directement et par vous-mêmes jusqu'à la chambre de l'être aimé, c'est que vous acceptez de vous confronter directement aux problèmes et de les régler.
4. L'emplacement des roses indique la fréquence avec laquelle vous désirez voir votre amoureux(se). Si vous avez placé le bouquet sur le lit, c'est que vous avez besoin qu'il vous rassure dans la relation et que vous avez envie de le voir très souvent, tous les jours idéalement. Si vous avez déposé le bouquet sur le bord de la fenêtre, c'est que vous n,avez pas besoin de la présence de l'être cher aussi souvent car vous avez confiance en cette relation.
5. Vous trouvez votre amoureux(se) endormi : vous acceptez votre amoureux(se) tel(le) qu'il (elle) est. Vous le(la) trouvez réveillé(e) : vous vous attendez à ce qu'il (elle) change pour vous.
6. Les chemins court ou long représentent maintenant combien de temps vous restez en amour. Si vous choisissez le court, vous "débarquez" très facilement de ce sentiment. Si vous choisissez le long, vous restez probablement en amour très longtemps.
Quelle route allez-vous choisir ? la COURTE, ou la LONGUE ?
Note : Ce petit test n'est pas scientifique du tout. Il est là pour vous faire passer un bon moment. Il est à prendre avec un grain de sel et le sourire.
14/01/2010
AMOUR.. AMITIE.. EXISTANCE
On participe tous dans un jeu nommé « destin » dès notre naissance, les relations humaines sont devenues un jeu d’enfant. Ce genre de relations arrive à laisser pas mal de victimes, jouer aux sentiments est devenu le passe-temps de pas mal de gens malheureusement, et ça joue sur le point faible de certaines personnes, il y en a qui arrivent à supporter, d’autres qui n’en supportent pas et font une dépression plus ou moins durable.
Pourquoi tout le monde dit « je veux » mais personne ne donne ?! L’ensemble des relations consiste un échange entre deux personnes pour garantir le bon déroulement et éviter les malentendus, personne n’est parfait mais ce n’est pas une excuse. Une personne qui prend sans donner est une personne qui profite de la situation, elle se croit gagnante mais réellement c’est la perdante : elle n’arrivera jamais à connaitre le sens de la relation. Entre un couple apparait par obligation : les gens se sentent obligés de passer un message ou de téléphoner à la personne ciblée.
« L’amour a ses raisons que la raison ignore » un proverbe plein de sens et, paradoxalement, celui-ci prend peut-être tout son sens parce que l’amour n’existe pas…
Commençons par définir l’amour : L'amour c'est une adéquation avec l'autre : ça peut être tout un tas de points communs, ça peut être la même façon de voir de voir les choses, ça peut être de l’admiration. Cette adéquation peut parfaitement coller à la définition de l'amitié... Mais dans l’amour il y a quelque chose en plus : le fait que le cœur se met à battre à 200 lorsque l’autre est là… et en fait c’est ce qu’on appelle « la passion ».
Donc amour = amitié + passion.
Comment naît l’amitié ? Elle se crée au fil des temps, les personnes s’apprécient, se trouvent en adéquation, sans avoir forcément cherché à le devenir.
Donc l’amitié existe, ce sentiment pur entre deux personnes ou plus qui les relie suivant des valeurs connues par les membres. En plus, cette relation sociale favorise l’intégration de la personne dans une société quelconque l’enlevant de la solitude. N’oublions pas la confiance réciproque entre les amis et le sentiment de sécurité causé par cette amitié. Si, de nos jours, nous ne trouvons pas une amitié assez rigide, ça ne veut pas dire qu’elle n’existe pas, elle existe même dans son aspect limité.
Comment naît la passion ? Soit par un coup de foudre (qui, rationnellement n’existe pas), soit par quelque chose d'accidentel, ou quelque chose d'inattendu, ou quelque chose qui entraîne une privation, bref quelque chose qui biaise la relation... C'est la passion. Certains s’efforcent même de créer cette privation : il suffit simplement de voir tous les mensonges que l’on raconte aux premiers rendez-vous. Au final, la passion n’est que le résultat d’une privation créée par quelque chose de faux que l’a tenu de vrai. La cause de la passion n’est donc pas réelle mais elle est perçue comme telle.
A propos de l'amitié
Aristote distinguait trois sortes d’amitié :
• L’amitié en vue du plaisir ;
• L’amitié en vue de l’intérêt ;
• L’amitié des hommes de bien, semblables par la vertu.
Pour Aristote, la seule veritable amitié est l’amitié vertueuse. Cette dernière est recherchée par tout homme, même si tout homme ne la rencontre pas nécessairement. Elle peut naitre entre deux individus d’ « égale vertu » selon le philosophe et se distingue de l’amour en cela que l’amour crée une dépendance entre les individus. Toujours selon Aristote, l’ami vertueux(« veritable ») est le seul qui permet a un homme de progresse car l’ami vertueux est en réalité le miroir dans lequel il est possible de se voir tel que l’on est. Cette situation idéale permet alors aux amis de voir leur vertu progresser, leur donnant ainsi accès au bonheur, notion évoquée dans le dernier livre de l’Ethique a Nicomaque et qui est, pour Aristote, a plus importante.
Une relation d’amitié peut prendre différentes formes ; de l’entraide, l’écoute réciproque, a l’échange de conseils, au soutien, en passant par le partage de loisirs.
SOCRATE en parlant de l’amitié, établit une distinction entre les trois concepts du bon, du mauvais et du ni bon ni mauvais. Comme convenu précédemment, le bon se suffit a lui-même et ne peut donc prendre l’initiative d’une relation amicale. Il en est de même du mauvais, dont la méchanceté esclot toute forme d’amitié. Reste le ni bon ni mauvais. Il ne peut être ami de ce qui lui ressemble, l’amitié ne pouvant naitre entre deux êtres semblables, tout comme il ne peut être ami de ce qui lui ressemble, l’amitié ne pouvant naitre entre deux êtres semblables, tout comme il ne peut être l’ami du mauvais. La seule combinaison valable est donc que l’amitié peut être ressentie par le ni bon ni mauvais pour le bon.
SOCRATE va plus loin pour démontrer que les choses ou les personnes faisant l’objet d’un sentiment d’amitié ne sont pas aimées pour elles-mêmes, mais pour autre chose, laquelle est aussi aimée pour autre chose, et ainsi de suite jusqu'à parvenir au principe premier, au premier objet de l’amitié.
Le médecin par exemple, n’est pas aime pour lui-même mais pour la sante qu’il procure. La sante, quant a elle, n’est pas aimée pour elle-même mais pour le bien-être général auquel elle contribue, et ainsi de suite. En continuant sur cette voie, affirme Socrate, nous pourrions arriver a un principe premier qui nous renverra plus a un autre objet aime, mais qui sera aime pour lui-même. Toutefois il garde le silence sur la nature de ce premier objet de l’amitié.
Platon,Aristote,Epicure et laecre
L’amour selon PLATON, appelé l’Amour platonique est une expression et une conception des relations amoureuses qui date de la renaissance. Il s’agit d’un amour en dehors de toute sensualité, de type « imaginaire », sans contact physique. Il est ainsi nomme du nom du philosophe grec Platon et d’une extension de sa théorie exposée dans le Banquet. Le fait que ce sont des qualités qui sont aimées dans une personne, et non la personne elle-même.
Dans son extension de sens a la Reconnaissance, il s’agit d’un amour par l’esprit, un amour dans les idées. Les relations a distance sont bien souvent constituées d’amour platonique a des degrés divers. Généralement, il est associe a une sorte de rêve, de fantasme, dans lesquels l’envie d’être avec la personne aimée provoque un sentiment de tristesse. Il ne faut cependant pas le confondre avec l’amour courtois du Moyen-âge.
Platon accordait pour sa part une place naturelle aux relations charnelles. Dans le Banquet, a travers le personnage d’une prêtresse, Diotime explique ainsi que la sexualité est nécessaire pour avancer sur le chemin menant a la vérité. C’est sans doute sa description du refus par Socrate de relations charnelles avec Alcibiade, relate dans ce même Banquet, qui a accrédite par la suite la confusion entre amour platonique et vision non charnelle de l’amour.
Théorie du Beau chez Platon :
1. Le premier degré consiste en une attraction charnelle ou les plaisirs de la chair l’emportent, première étape sur le chemin de l’amour des idées. Il s’agit déjà d’un amour de la perfection : celle des formes.
2. La seconde phase recherche quelque chose de plus : la personne est appréciée pour son esprit, complément de son corps, deuxième étape de l’ascension de l’âme.
3. Enfin, on en arrive au détachement complet du sensible pour atteindre une recherche intégrale des idées intelligibles : c’est l’amour des idées.
Cette théorie est liée a sa vision de l’éducation proposée dans Les Lois, ou l’art est utilise pour faire accéder les âmes au monde intelligible et les éduquer au sein de la cite. Les arts sensibles, ceux des simulacres, viennent en premier ; puis arrive l’art qui privilégie les idées du courage et de la valeur militaire ; et enfin vient l’art qui permet d’aller vers la philosophie auquel très peu parviennent.
Aristote, quant a lui, ne théorise presque pas l’amour, mais il met l’accent sur l’amitié (valeur également partagée par les écoles de sagesse ascétique). Il faudra attendre l’élégie romaine pour que la sexualité soit a nouveau célébrée dans la littérature, mais cette fois, sans la passion céleste et l’idéalisation du sentiment amoureux.
Epicure pose la question de la sincérité de l’amitié. Qu’est-ce qu’un véritable ami ? Comment définir l’amitié vraie ? Pour Epicure, le veritable ami est avant tout celui qui prévient les besoins de l’autre, lui évitant ainsi les troubles de l’âme et lui permettant d’accéder a l’ataraxie. L’amitié est finalement un des plaisirs du sage, de très loin supérieur a la passion amoureuse source de malheurs.
L’amour peut être perçu essentiellement comme la quête d’un manque, lorsque la notion oblative ne s’est pas développée.
L’amour que l’on porte a une personne ou un objet naitrait par ce qu’il nous apporte ou est susceptible de nous apporter. « Aimer » ne serait autre qu’une façon inconsciente d’avouer sa propre impuissance à l’autonomie pour un besoin particulier a un moment donne.
Besoin d’aimer ou besoin de se sentir aimer ne serait autre qu’un besoin égoïste, qu’une attente de la personne qui pourrait combler les manques immatériels ou matériels que nous ne serions pas capables de satisfaire par nous-mêmes. Par exemple, en Occident, le besoin d’un enfant entraînerait le besoin d’une compagne ou d’un compagnon a nos cotes, besoin qui nourrit un sentiment d’amour ou de besoin d’amour pour la personne que l’on attend pour concevoir cet enfant.
La réalité psychique du besoin d’enfant résiderait plus dans un besoin de sécurité motive apparemment par le bien de l’enfant : le nourrir et l’accompagne vers l’âge adulte. Mais cette attitude, apparemment généreuse, sous-tendrait en fait un désir cache du parent d’être accompagne vers la vieillesse.
Dans ce type de situation, « aimer » ou dire « je suis amoureux (se) », serait une façon inconsciente de dire : « j’espère que la personne pour laquelle j’éprouve des sentiments amoureux m’apportera les choses que j’attends d’elle ». Tant que l’on sent chez la personne aimée la présence des choses que l’on attend d’elle, le sentiment perdure, mais si la personne aimée perd ou ne dispose pas d’une partie de ce que l’autre attend, le sentiment d’amour s’estompe ou s’éteint. Lorsque ce sentiment s’estompe, il n’est pas rare d’entendre : « Nos deux chemins se sont séparés » car « mes besoins ont changes », « nous n’avons pas suivi la même route », etc. A ce moment, la personne qui se sent « en danger » peut être sujette a des crises d’anxiétés. La personne quittée peut y être plus ou moins indifférentes ; si tel n’est pas le cas celui qui est « abandonné » aura probablement un sentiment de tristesse, de jalousie, de colère ou même de haine…
Lorsqu’on analyse ce type de relation, on est tente d’utiliser des rapports proportionnels et de donner une note de 1 a 100 a l’amour ‘offert’ a la personne aimée ; par exemple 75 ; l’autre personne ne pourrait pas aimer au delà de 25…
Cette relation amoureuse serait, par définition, déséquilibrée ; si le déséquilibre demeure trop important, la séparation devient la seule porte de sortie car la relation devient insupportable pour les deux parties tant les reproches, les disputes sont présentes. C’est la personne qui aime le plus qui ferait le plus de reproches ou provoquerait le plus de disputes. L’histoire d’amour qui dure serait une histoire dans laquelle la ‘note’ d’amour des deux belligérants serait proche de 50, une sorte d’équilibre mu par les indispensables projets avoues ou inavouables des deux êtres qui s’aiment.
le besoin d'amour
L’amour peut être perçu essentiellement comme la quête d’un manque, lorsque la notion oblative ne s’est pas développée.
L’amour que l’on porte a une personne ou un objet naitrait par ce qu’il nous apporte ou est susceptible de nous apporter. « Aimer » ne serait autre qu’une façon inconsciente d’avouer sa propre impuissance à l’autonomie pour un besoin particulier a un moment donne.
Besoin d’aimer ou besoin de se sentir aimer ne serait autre qu’un besoin égoïste, qu’une attente de la personne qui pourrait combler les manques immatériels ou matériels que nous ne serions pas capables de satisfaire par nous-mêmes. Par exemple, en Occident, le besoin d’un enfant entraînerait le besoin d’une compagne ou d’un compagnon a nos cotes, besoin qui nourrit un sentiment d’amour ou de besoin d’amour pour la personne que l’on attend pour concevoir cet enfant.
La réalité psychique du besoin d’enfant résiderait plus dans un besoin de sécurité motive apparemment par le bien de l’enfant : le nourrir et l’accompagne vers l’âge adulte. Mais cette attitude, apparemment généreuse, sous-tendrait en fait un désir cache du parent d’être accompagne vers la vieillesse.
Dans ce type de situation, « aimer » ou dire « je suis amoureux (se) », serait une façon inconsciente de dire : « j’espère que la personne pour laquelle j’éprouve des sentiments amoureux m’apportera les choses que j’attends d’elle ». Tant que l’on sent chez la personne aimée la présence des choses que l’on attend d’elle, le sentiment perdure, mais si la personne aimée perd ou ne dispose pas d’une partie de ce que l’autre attend, le sentiment d’amour s’estompe ou s’éteint. Lorsque ce sentiment s’estompe, il n’est pas rare d’entendre : « Nos deux chemins se sont séparés » car « mes besoins ont changes », « nous n’avons pas suivi la même route », etc. A ce moment, la personne qui se sent « en danger » peut être sujette a des crises d’anxiétés. La personne quittée peut y être plus ou moins indifférentes ; si tel n’est pas le cas celui qui est « abandonné » aura probablement un sentiment de tristesse, de jalousie, de colère ou même de haine…
L’amour que l’on porte a une personne ou un objet naitrait par ce qu’il nous apporte ou est susceptible de nous apporter. « Aimer » ne serait autre qu’une façon inconsciente d’avouer sa propre impuissance à l’autonomie pour un besoin particulier a un moment donne.
Besoin d’aimer ou besoin de se sentir aimer ne serait autre qu’un besoin égoïste, qu’une attente de la personne qui pourrait combler les manques immatériels ou matériels que nous ne serions pas capables de satisfaire par nous-mêmes. Par exemple, en Occident, le besoin d’un enfant entraînerait le besoin d’une compagne ou d’un compagnon a nos cotes, besoin qui nourrit un sentiment d’amour ou de besoin d’amour pour la personne que l’on attend pour concevoir cet enfant.
La réalité psychique du besoin d’enfant résiderait plus dans un besoin de sécurité motive apparemment par le bien de l’enfant : le nourrir et l’accompagne vers l’âge adulte. Mais cette attitude, apparemment généreuse, sous-tendrait en fait un désir cache du parent d’être accompagne vers la vieillesse.
Dans ce type de situation, « aimer » ou dire « je suis amoureux (se) », serait une façon inconsciente de dire : « j’espère que la personne pour laquelle j’éprouve des sentiments amoureux m’apportera les choses que j’attends d’elle ». Tant que l’on sent chez la personne aimée la présence des choses que l’on attend d’elle, le sentiment perdure, mais si la personne aimée perd ou ne dispose pas d’une partie de ce que l’autre attend, le sentiment d’amour s’estompe ou s’éteint. Lorsque ce sentiment s’estompe, il n’est pas rare d’entendre : « Nos deux chemins se sont séparés » car « mes besoins ont changes », « nous n’avons pas suivi la même route », etc. A ce moment, la personne qui se sent « en danger » peut être sujette a des crises d’anxiétés. La personne quittée peut y être plus ou moins indifférentes ; si tel n’est pas le cas celui qui est « abandonné » aura probablement un sentiment de tristesse, de jalousie, de colère ou même de haine…
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